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DÉSACCORD


ou


Les élucubrations d’une grand-mère avisée





Réflexions sur l'être humain








Les Productions luca

ISBN 978-2-924021-04-0











LES TROIS AMIS




Non, l'être humain n'est pas un animal !





C'est pourtant

ce que l'on veut nous faire gober.






Un être humain

est un être et

un humain.




Il est un composite

mais personne

ne semble

s'en

préoccuper.





Qu'est-ce qu'un être ?



C'est celui qui pense, crée, aime, décide.

J'ai dit celui et non cette chose

qui se trouve sous votre crâne,

cette chose si recherchée dans

les fins restaurants

que l'on nomme

la cervelle !


Je suis désolée de vous contredire

mais elle ne peut pas être

le siège de la pensée.


D'ailleurs,

la pensée n'a pas de siège

puisqu'elle est créée par l'être,

qui est esprit.


Vous êtes l'être qui vit et active le corps.

Vous êtes l'âme vive et intelligente qui

contrôle ce corps qui vous

tient tant à coeur.






Vous n'avez pas d'âme,

vous êtes l'âme...

ça vous en bouche un coin !





Pourquoi ne me croyez-vous pas ?





Il est très difficile de croire

une vérité quand on y

inculque d'abord un mensonge.

Pour y arriver,

il faut pouvoir

observer.






Je disais donc que le cerveau ne pensait pas.

Quelle affaire, après tout ce que l'on m'a

raconté !





Il ne peut le faire, il n'est que matière.



Je suis déjà si inquiète à propos de ma vie

que je n'aurais pas la stupidité de la confier

à de la matière molasse.




L'être humain est un composite.



Vous avez un corps,

vous avez un mental et

vous êtes un être (les trois amis).


Cet être spirituel

n'est évidemment pas

fait de matière.



Il en faut au moins un

pour mettre un peu d'ordre

dans cette pagaille !




C'est déjà assez compliqué d'avoir un corps et

d'avoir un être, pardon... d'être un être,

que vient faire le mental dans tout ce

merdier ?



Ce n'est pas compliqué,

c'est la valise de l'être.

L'être emmagasine tout ce qu'il voit,

c'est-à-dire

toutes ses images et il y tient mordicus

à ses images !


La preuve, c'est qu'il s'en sert tout le temps.

Il en a besoin pour se rappeler

qu'il doit sortir ses poubelles,

acheter des actions, aller travailler,

changer les couches de son bébé...

Ah ! les couches du bébé.



Je ne vous ai pas tout dit à propos du mental.


L'être,

ce petit coquin

qui traîne toujours sa valise

avec lui

vie après vie,

a décidé d'inclure les odeurs,

les sentiments et

les sensations dans

ses images.


C'est pourquoi les images

des couches du bébé

sont

si imprégnées d'...odeurs !




Que fait donc le cerveau dans tout cela ?



Évidemment, à cause de ce que je viens d'écrire,

il a perdu quelques plumes scintillantes.

Mais il n'est pas dénué de tout,

il a un bon petit rôle.


Comme le disait un de mes amis:

« Il sert au minimum

à tenir mon chapeau ! »


Non, je blague,

il est beaucoup plus important :

il est comme une

centrale téléphonique.




Je m'explique :


Le cerveau sert à relayer les communications

qui sont envoyées par l'être

au mental qui,

lui,

organise à l'aide de ses images

et de ses sensations,

le problème à régler.


Une fois fait,

il dirige ces pulsions vers

le cerveau qui,

en bon téléphoniste,

relaie au corps le mouvement

approprié.


C'est facile à comprendre,

n'est-ce pas ?


Désirez-vous un exemple ?



Il est midi, j'ai faim !

Est-ce le corps qui dit au cerveau

de courir au restaurant ?


Il semble que ce soit la façon dont il procède,

mais encore là,

si nous observons vraiment ce qui se passe,

nous trouverons un

patron

aux commandes.


Il est midi,

l'être se dit :

« Il est temps que je nourrisse mon corps;

n'est-il pas le jouet le plus perfectionné

qu'il me reste ?

Prenons-en soin ! »


Comment s'y prend-t-il ?


Il ouvre sa valise et

envoie une impulsion de faim,

le mental la capte et retrouve

parmi les images et les sensations,

une bonne bouffe.


Ensuite, il suggère au cerveau

d'envoyer le corps manger.

Celui-ci dirige donc,

à l'aide de ses nerfs et de ses flux,

une solide crampe

à son estomac.



Et ces trois-là vivent en

parfaite harmonie !




Dr Penfield.



Ce célèbre neurochirurgien

a travaillé une bonne partie de sa vie

sur l'épilepsie.


Après avoir testé le cerveau

sur des patients éveillés,

il aurait dit

vers la fin de sa vie

qu'il y avait certainement une âme

derrière cette prodigieuse mécanique

qu'est le cerveau.







JE SUIS




Qui suis-je ?


La question à mille dollars ?

Combien de gens se l’ont posée ?

La réponse est pourtant simple :

puisque nous avons établi

que nous ne sommes pas des animaux,

il est facile de trouver la réponse à cette question :

« Qui suis-je ? »


JE SUIS, est la réponse.


Au départ, je suis.

Par la suite je suis ce que je décide d'être :

un homme, un médecin, un pilote, une infirmière,

un clodo, un criminel, un oiseau, un cheval

ou même une poupée !


Il n'y a aucune limite à l'esprit, il peut être ce qu'il veut.

N'est-il pas tout-puissant ?


Nous sommes aujourd'hui ce que nous avons

décidé d'être hier.


Les autres n'ont rien à voir avec notre

bonheur ou notre malheur.


Ils ne sont absolument pas responsables

de notre réussite

ou de notre échec.

C'est dur à prendre, hein ?


Nous avons créé l'état

dans lequel nous sommes

avec nos décisions,

nos créations réussies

ou avortées.

Si vous vous dites après un échec :

« C'est foutu,

je n'y arriverai plus ! »


Que croyez-vous qu'il se passera ?



Vous êtes un esprit, pardi !


C'est vous qui décidez de

votre malheur.


Observez ça un peu et donnez-m'en

des nouvelles.




Il existe une petite quantité de gens qui

s'opposent à ce que les hommes

soient d'abord des êtres ;

ils préfèrent que l'être humain se prenne

pour un corps.





Pourquoi ?

Parce qu'il est beaucoup plus facile à contrôler.

S'il fallait que les hommes se prennent pour

des êtres spirituels,

ils ne pourraient plus les droguer,

les électrochoquer et

les lobotomiser.





Mais l'esprit...



Mais l'esprit n'est que ce qu'il considère être.

S'il désire se prendre pour un corps animal,

il recevra le traitement

fait aux animaux.




Peu importe son malheur,

il l'aura décidé

au préalable.





Aurions-nous vécu avant cette vie ?




Bien sûr !

Être un esprit n'aurait aucun sens

s'il était réduit à une

si courte vie.





Pourquoi un enfant naîtrait-il handicapé s'il

n'avait pas vécu avant ?


N'est-il pas responsable de sa condition ?

N'apporte-t-il pas sa valise avec lui

vie après vie ?


Le temps n'a pas d'importance pour un être,

ce qu'il décide arrivera

tôt ou tard.


Cet enfant n'a pas toujours été

aussi mignon,

il en a probablement handicapé plusieurs.

Allez donc voir !


N'oubliez pas qu'il est

ce qu'il décide.



Vous êtes-vous posé la question à savoir

pourquoi, dans une famille saine,

il apparaît soudain

un dépravé ?



Vous direz:

« Il a pourtant été élevé comme les autres ! ».


Pas de chance !

C'est un crétin qui a pris le corps

de votre bébé !



À l'avenir tâchez de vous choisir

un être sain.




En faisant quoi ?





Les esprits peuvent communiquer entre eux;

appelez-en un qui

soit sain.






Dans votre prochaine vie,

faites gaffe !



Elle sera faite des matériaux de celle-ci

et des précédentes.



N'oubliez pas que vous traînerez les images

dans lesquelles

vos haines, vos chagrins,

vos amours

et vos désirs referont surface.





Mais... je ne me souviens

de rien.



Je me fous

que vous ne vous ne vous en souveniez pas,

cessez donc une bonne fois

de suivre

le merveilleux tunnel

d'où jaillit la lumière

après votre mort.


Vous aurez peut-être la chance

de vous souvenir de

quelque chose,

sombre crétin !


Je ne blague pas, mais alors

pas du tout !




Ne leur pardonnez pas,

car ils savent

ce qu'ils font.




Qui ça ?

Les psychiatres.


Ils savent qu'ils vous embrouillent,

qu'ils vous détruisent

en tant qu'être,

qu'ils vous diminuent et

qu'ils vous

transforment en un

bon petit animal docile.

Si vous saviez à quel point

ils le savent.




Je dirais même qu'ils ont leur credo !


Puisqu'ils prétendent s'occuper de l'âme humaine,

certains d'entre eux ont leurs croyances.


Leur credo est:

- Je crois que vous devriez vous occuper de vous-même.

- Je crois que vous devriez laisser cours à vos passions et à vos aberrations.

- Je crois que vous ne devriez plus vous soucier des autres.

  1. -Je crois que vous auriez intérêt à penser à vous, vous, vous, vous.


Forniquez, trompez votre mari,

tout cela est bon pour vous.

Ne vous retenez pas,

c'est mauvais pour votre ego.


Laissez l'animal jaillir en vous.



Dans quel but, Seigneur ?



Le contrôle des masses.


C'est pourquoi le grand spécialiste Wundt

a décrété un jour

que l'homme était un animal.



C'est beaucoup plus facile de contrôler

un animal qu'un

être sprirituel.







Que peuvent-ils tant contre nous ?



Même si vous n'approchez pas d'eux,

ils vous rejoignent partout.

Certaines émissions de T.V. raffolent d'eux,

ils sont leurs invités en majorité.

Les interviewers

les écoutent débiter leurs conneries

devant des téléspectateurs

hypnotiques.






Et que font ces téléspectateurs hypnotiques ?



Ces mêmes téléspectateurs donnent des drogues

psychiatriques à leurs gamins avant

de partir pour l'école.


Ainsi ils ne peuvent voir

leurs petits êtres transformés

en zombies

sur leur banc de classe.


Ainsi, ils ne peuvent voir

le désespoir

dans lequel ils sont ensevelis.




Vous ont-ils prévenus des effets

dégradants

de leurs drogues ?



Vous, vous n'en connaissez pas

les terribles effets, mais

eux

les connaissent et

ils n'arrêteront pas le fléau.

Tant que nous,

les êtres humains,

ne les arrêteront

pas.



Trouvez-vous normal que des enfants

tirent à bout portant sur

leurs copains ?






Dis-moi qui tu tues et

je te dirai ce que tu

consommes !





Les adultes ont droit eux aussi aux bons soins

de la psychiatrie.



Le résultat est fabuleux:

grâce au Prosac,

les hommes battent leur femme,

violent les gamins,

frappent ou tirent sur les autres

pour un rien,

vivent des vies végétatives et

se suicident à qui mieux mieux.




Et on accuse les armes !



Chaque guerre a son psy

bien camouflé derrière

et chaque grand fléau a son psy

aux dents longues.


Même si vous ne consommez pas leurs drogues,

vous les absorbez par leurs publicités

mensongères.


Vous cherchez le gros loup méchant dans la forêt

alors qu'il se trouve dans votre salon !


Ne l'oubliez pas et surtout, observez !




Comment ces gars-là peuvent-ils prétendre

soulager l'âme humaine ?


Ils ne savent pas que l'homme est d'abord une âme.

Ils auraient tout intérêt à clarifier les mots:

« Âme et Cerveau. »



Ce qui est le plus étrange,

c'est que, naturellement, les gens n'aiment pas

les psychiatres

mais ils ne font rien

pour les

contester.


Et encore moins pour

s'en débarrasser.




Pourquoi est-ce que je les conteste tant

en réalité ?



Parce qu'ils se servent du mot

« aide »

pour convaincre les gens

alors qu'en réalité

ils ne soignent pas, ils

droguent !


Jamais ces gens ne sont guéris.






Ah, Dieu ! qu'il est difficile de

croire en toi !



Après mûres réflexions,

je crois que j'ai compris ce que

« À son image et à sa ressemblance »

signifie pour moi.


Je ne me suis pas éloignée de lui,

j'ai simplement modifié

son visage.


Je l'ai multiplié, si l'on veut.


J'ai réalisé que lorsque je désirais

ardemment

quelque chose, je l'obtenais.





Sans son aide, je réussissais.



Plus je désirais de grandes choses,

plus les choses que j'obtenais

étaient grandes.

Puisque je suis

« esprit »,

je peux faire ce que n'importe quel

esprit conscient de l'être peut faire.



En ayant besoin de Dieu

nous faisons une sorte de transfert,

tout simplement parce que nous croyons

que nous sommes

juste un corps

et que lui est

esprit.



Une affaire de responsabilité



Puisque nous sommes toujours

ce que nous croyons être ;

si nous nous prenons pour un corps,

nous serons un corps,

du moins pour le temps que nous le

considérerons ainsi.



En faisant appel à Dieu,

cela nous rend moins responsable.


C'est tellement plus pratique !



Et le rendre responsable de nos actes

devient alors une

stupidité.



Être conscient de soi en tant qu'être, change

totalement le tableau de la vie.


D'abord il faut cesser immédiatement

de rendre les autres

responsables pour nos joies et

pour nos peines.



Nous finirons par réaliser que c'est nous

qui causons tout cela.



En continuant à faire payer notre

mari ou notre femme

parce qu'il ou qu'elle ne fait pas

ce que nous aimons,

nous précipitons nos deux vies dans la douleur.


Un petit exemple ne fait jamais de mal.


Si vous en avez assez de tomber encore

sur un autre alcoolique,

il serait peut-être temps

que vous décidiez vraiment

qu'il en soit autrement.


Si vous continuez à rencontrer

des alcooliques batteurs

de femmes,

il vaudrait peut-être mieux

que vous regardiez

si le plaisir

de vous faire plaindre n'est pas

plus fort que

celui

de demeurer en

sa compagnie.


Qu'arriverait-il s'il n'y était plus ?


S'il n'était plus là,

vous n'auriez plus une seule chance

de vous faire plaindre.

Pensez-y avant de changer !


Ou peut-être

que votre désir de haïr

est plus fort que celui

de vous enfuir ?


S'il n'était plus là,

votre haine n'aurait plus de tunnel

pour s'écouler.


Cela vaut peut-être la peine

d'y penser !




Qu'est-ce qui retient un être enchaîné ?


Je crois que ce sont ses propres

mauvais penchants.



Vous haïssez quelqu'un,

mais en réalité,

c'est vous-même que

vous haïssez.




Pourquoi ?



Parce que celui que vous haïssez,

est probablement

celui

à qui vous avez fait du mal.


N'oubliez pas que vous n'êtes pas

nés de la dernière pluie !


Prenez un mari qui trompe sa femme;

soyez certain

qu'il lui trouvera des défauts

énormes.


Il est bien obligé de justifier

son acte.


Qu'est-ce que Dieu ?



C'est un pur esprit capable d'être conscient.



Il est tout pouvoir.



N'étant pas mortel, il ne s'éteint jamais.

Il peut créer

de belles et grandes choses et

peut aussi décider de

détruire

ces belles et grandes choses.




Quels sont ses pouvoirs ?


Infinis.



Selon son désir,

il peut décider d'être heureux ou malheureux ;

il possède

tous les pouvoirs

et est conscient de les posséder.


Si vous croyez,

ne serait-ce qu'un instant,

que vous êtes esprit,

où est la différence entre

vous et Dieu ?




Aujourd'hui vous faites l'expérience de vivre

dans

un corps mais l'avez-vous

toujours fait ?




Prenez conscience de vos intuitions,

augmentez votre capacité à savoir

sans vous servir des vias de

l'univers physique.



Peut-être découvrirez-vous

que vous êtes

immortels.





Pourquoi les femmes sont-elles plus

intuitives ?


Parce qu'elles sont plus conscientes.

Pourquoi, elles, en particulier,

me direz-vous ?


(Ici, je n'exclus pas tous les hommes.)


Probablement parce qu'elles ont

une nature plus réfléchie.

Étant moins accaparées par

la violence,

les voitures,

le sport

et le sexe,

elles observent beaucoup et

ressentent mieux.


Qu'est-ce qui les aide ?


Souvent, elles ont des enfants et perçoivent l'être.

Les jeunes enfants,

ne jouissant pas de la dextérité physique

de leur corps,

opèrent énormément en tant qu'êtres et

éveillent ainsi la conscience

de leur mère.


Elles n'ont pas besoin de mots pour comprendre,

elles le font directement d'esprit à esprit.

Et cela leur confère

une plus grande habileté à être.


Tous ceux et celles qui ont de l'intuition

et qui ne s'en cachent pas,

attirent l'admiration des autres.


Ils représentent une sécurité.


Pourquoi ?




Parce qu'ils se rapprochent de

Dieu,

leur véritable état d'être.





Dieu ne met jamais la faute sur

les autres.





Sinon, il ne serait pas Dieu.






Pourquoi le faites-vous ?





Et tout cela n'a rien à voir avec les

conneries de « phénomène psy ».




Si vous pouvez faire bouger une feuille

uniquement par décision

sans vous servir de vos mains,

c'est qu'il vous reste encore un peu

de conscience et de

capacité divine.





Y a-t-il d'autres raisons ?


Il n'y a pas d'autres raisons.


Ce n'est pas une habileté du cerveau

mais bien une

de l'esprit.


C'est très facile de s'y retrouver ;

tout ce qui n'est pas

matériellement démontrable

est spirituel.



C'est notre nature intrinsèque.


Vous sentez-vous

mieux ?



Seigneur, il y a un fantôme

dans la maison !




Quoi ?  Vous ne croyez pas aux fantômes !



C'est impossible.

Les esprits sont partout

autour de nous.

Ils sont désincarnés

mais ils sont esprit.

Ils recherchent l'attention,

l'amour,

la haine,

la vengeance.


N'oubliez pas qu'ils ont leur

valise d'images et d'émotions

avec eux.




Ils ne jouent pas tous aux fantômes.


La majorité du temps

ils attendent un nouveau corps

afin de reprendre forme.


Nous les retrouvons principalement

dans les maternités,

et ils sont nombreux.


Il est temps que les parents en choisissent

un

à leur goût sinon ils risquent d'hériter de

n'importe qui!


À chaque naissance,

la famille se retrouve soit avec le grand-père,

ou l'enfant mort trop tôt,

ou... la tante Alice !


Et pourtant,

vous veniez tout juste de

vous en débarrasser... de votre tante Alice !




Les êtres deviennent des fantômes lorsqu'ils

se manifestent de façon sensible.



Évidemment, tous n'ont pas le même pouvoir

ou ne sont pas assez crétins pour

venir embêter les humains.


Les êtres désincarnés

sont dans leur mort

comme ils étaient

de leur vivant.




Une expérience ?


Mon mari et moi en avons eu un déjà

qui s'est manifesté par l'odeur.

Ah ! Quelle odeur !


Il émanait de lui une odeur de rat mort.

Le petit démon dégageait sa puanteur

uniquement dans la chambre

à coucher des invités.


Si les invités étaient adultes,

ils avaient droit au parfum pestilentiel

alors que jamais il ne se manifestait

lorsqu'un enfant dormait

dans cette chambre.


Nous avons fini par le persuader de partir

et il n'est pas revenu nous embêter.


Peut-être a-t-il décidé de prendre un corps.


Parfois il y en a qui mettent un sacré

temps

à comprendre !




Parfois ce sont les humains inconsolables qui

refusent de laisser partir leur adoré.


Ne les retenez pas,

vous leur faites de la peine.

Ils ont une énorme perte

de ne plus avoir de corps

pour s'exprimer

mais ils ressentent la même chose

hors de leur corps que lorsqu'ils étaient

à l'intérieur.


Ne vous en faites pas,

si vous les laissez aller,

ils se réincarneront dans

votre entourage.


Les êtres aiment la familiarité.


Mais, parfois...




Il arrive parfois qu'ils fuient au loin

pour avoir la paix et

souvent ils ne sont pas à blâmer !


Il est aussi probable que

si les comptes ne sont pas réglés,

ils croiseront

votre route

afin d'y mettre un terme.


Il arrive que ce petit jeu dure plusieurs vies.


Que croyez-vous donc qu'est le coup de foudre ?

Vous êtes-vous déjà

posé la question ?





Chers parents !



Pourquoi sentez-vous le besoin

de contrôler vos enfants ?


Pour les protéger ?

Je n'en doute pas.

Si nous regardions ici,

à tête reposée,

le problème que vous leur causez.


Admettons que ce que j'ai écrit

concernant l'être soit vrai.

Admettons-le, du moins,

pour un court moment.


L'enfant est un être

qui vient habiter le corps que

vous avez créé pour lui.


Un beau petit nid d'amour...


Comment vous adresseriez-vous à Monsieur le Juge ?


Le bébé qui gazouille gentiment dans son lit

est en train de vous parler.

Il s'exprime.

Si cela vous semble incompréhensible c'est que

son petit corps ne peut pas transmettre sa pensée.


Il lui arrive de pleurer soudain...

comme je le comprends !

Tout ce qu'il vous dit, vous ne le percevez pas.

Il doit vous prendre pour des abrutis !


Pensez donc que ce petit était probablement

Monsieur le Juge à la cour suprême

il y a à peine quelques mois et vous lui faites des ga, ga, ga, ga !


Vous irritez votre enfant en le traitant ainsi.

Vous savez, il a beaucoup d'expérience

ce chérubin !


Bébé est si patient avec vous,

remerciez-le.


Vous lui offrez des objets,

il n'en veut pas.

Cet être-là conduisait probablement

une Corvette un an auparavant et

vous lui donnez un hochet !

Il a le droit de le refuser.


J'ai souvent remarqué que les bébés

cherchent à s'approprier les clefs ou les briquets

et tendent la main vers

le paquet de cigarettes.


Je crois que ces objets leur

sont très familiers ;

beaucoup plus qu'un stupide

petit hochet !

Soyez compréhensif.



Certes, vous ne pouvez lui offrir

une bagnole

mais au moins accordez-lui cette

compréhension

dont il a besoin.


Les bébés comprennent absolument

tout ce que vous leur dites ;

ce sont des êtres qui ont une grande

expérience de la vie.




Ce qui est à eux, n'est pas à vous.



Si vous offrez à votre enfant

un jouet ou un vêtement,

de grâce, laissez-lui !



Laissez-le en disposer comme bon lui semble.

C'est à lui !




Un cadeau avec un élastique.


Que diriez-vous si on vous offrait un cadeau

et que celui qui vous l'aurait offert

guettait continuellement la façon

dont vous vous en occupez ?


Vous le lui retourneriez sans autre explication,

n'est-ce pas ?


C'est un peu la raison pourquoi votre gamin

casse ses jouets ou déchire ses vêtements.


Il n'a pas la liberté de vous les rendre,

alors, il se venge !


C'est à lui, vous n'avez pas le droit d'en disposer.

C'est un manque d'éthique très grave

envers votre enfant.


Je suis grand, je marche vite, tu n'as qu'à

suivre !


Combien de fois j'ai vu des parents inconscients

traîner leur enfant

par la main.


Pauvre petits, eux qui aiment regarder les choses,

les toucher,

leur sourire.


Ils sont happés par ces grands

qui ne se rendent pas compte

qu'ils les déséquilibrent et

les épuisent à les faire

galoper à côté d'eux.



Ils ont de si petites jambes !


Pas tous, heureusement.



Beaucoup de parents sont conscients et

accordent à leurs enfants le droit d'être

un enfant.



Ils les respectent et leurs enfants

leur rendent bien.



Ce sont des êtres conscients, seul leur corps

leur cause des

difficultés.





Sans crainte, mettez-les au boulot,

ils ont besoin d'aider.



Les enfants adorent aider leurs parents,

ils reçoivent beaucoup et

veulent rendre toutes ces bontés.



Tout bébé, ils sourient et sont gracieux.

C'est leur façon de vous remercier.


N'oubliez pas qu'ils sont conscients

de vos

bons soins.



Devenus plus grands...


Plus tard ils veulent en faire plus,

même s'ils sont maladroits

ils veulent vraiment participer.


Empêchez-les et vous aurez

des enfants et des adolescents

qui ne se sentiront pas utiles et

qui refuseront

d'aider qui que ce soit.


Et vous aurez de beaux petits individualistes

qui se fouteront de

tout le monde.


L'aide ne doit pas devenir une trahison.


C'est une qualité du coeur très estimée,

cultivez-la.


Respectez-les, ils vous

respecteront.


Adressez-vous à eux avec respect,

demandez-leur leur avis

pour les choses qui les concernent.


Ainsi, ils apprendront le jeu de la vie

qui a ses permissions et ses barrières.


Un respect mutuel est une assurance pour une

vie familiale heureuse.


Cela ne mettra pas en doute votre autorité,

vos enfants la respecteront parce qu'ils

sentiront qu'ils sont bien encadrés.


Les enfants adorent les règles,

c'est sur ces dernières qu'ils orientent

leur vie.


Ne les battez pas !



Battre un enfant pour se faire obéir est totalement nul.


Jamais un enfant n'obéit à la suite d'une correction.

Au contraire,

il développe une haine à l'égard de ses parents,

bien compréhensible d'ailleurs,

et devient sournois.



Sa survie se transforme en :

« Il ne faut pas se faire prendre. »




Comment réagiriez-vous si on vous frappait à

chaque bêtise que vous faites ?




Ne soyez pas plus durs avec eux que

vous ne l'êtes avec vous-mêmes.


Faites-leur réparer leurs bêtises

au lieu de les cogner.

C'est nettement plus éducatif et les résultats,

bien meilleurs.



Je sais, je sais, souvent ils sont à battre

mais retenez-vous,

ça ne vous soulagera

même pas !






S.O.S. TERRE



Pourquoi ne pas en prendre soin ?



N'oubliez pas qu'elle sera là

pour nous accueillir

dans notre prochaine vie.


Ne sommes-nous pas les enfants du futur ?


Admettons une toute petite fois que

cela puisse être possible.

Imaginez la responsabilité que nous

avons à porter

chaque fois que nous posons

un geste destructif envers notre planète.


Si elle étouffe,

nous étoufferons avec elle.


Comment s'y prendre ?



Lorsqu'une population entière décide d'arrêter

une action destructrice,

habituellement

elle y parvient

par la décision.




Serrons-nous les coudes

et hurlons notre désaccord à

la pollution.




Tout ce qui naît, croît et meurt,

fait partie de nous.



C'est notre chaîne de vie,

nous devons en avoir un

très grand respect.


Aider la vie à vivre;

c'est notre devoir,

c'est notre survie.



Pour le corps

c'est vital,

mais pour l'esprit,

c'est son oeuvre !


Pourquoi s'en passerait-il ?


Prenons toutes ces choses admirables

que l'esprit a créées:

les fleurs, les arbres,

les oiseaux, les animaux marins

et terrestres;

ce sont de véritables trésors et nous devons

les protéger, les aimer

et les admirer.



Sans cette beauté

l'être que nous sommes

plongerait dans l'apathie la plus totale.


Imaginez notre douleur

si nous devions vivre sur une

planète rugueuse

et sans couleur.


Donner admiration à ce qui est beau

c'est faire vivre !


Les drogués,

ceux qui droguent, les criminels, les prostituées

acceptent la laideur et la dégradation.


Ils ont cessé d'admirer la nature

et sont devenus tristes et laids.


Pour qu'une chose belle puisse continuer d'exister,

il faut l'admirer !


Un ami à moi a entendu la détresse

de la forêt en Amazonie au moment où on la brûlait.


Il a ajouté:

« Cette forêt était si opprimée que

nous l'entendions pleurer ! »


Notre devoir est de soutenir ceux qui se

battent pour la préservation de notre

environnement.


En faisant quoi ?  En leur écrivant,

en protestant lorsqu'une multinationale

détruit un environnement sain,

ou en décidant simplement

que ce qui est beau et sain

doit le rester.


La décision d'un être

émet une force indestructible;

imaginez la puissance

de mille ou d'un million

d'êtres humains décidant la

même chose !


C'est si merveilleux d'être conscient,

pourquoi s'en priver !






LE BIEN ET LE MAL



J'ai lu trop de descriptions erronées

sur le bien et le mal.



Le mal n'est pas seulement un acte destructif,

il peut être aussi un

acte non commis.


Si vous décidez de ne pas aider

quelqu'un

qui en a besoin, c'est mal,

peu importe vos

considérations.





Je vous donne un exemple.


Un acte est mal lorsqu'il détruit plus que moins.


Si l'on doit détruire des arbres

sur un terrain contaminé,

ce n'est pas mal.


La contamination détruit beaucoup plus;

elle affecte les animaux, les enfants et les adultes.

Elle affecte également

l'environnement.


Par contre,

si vous enfermez un oppresseur

qui se permet de tout détruire

autour de lui,

ce n'est pas mal.


L'idéal serait de le réhabiliter.

Notre société n'utilise pas les bons outils

la plupart du temps.


Elle punit, elle ne réhabilite pas.




Le mal détruit celui qui le cause.


Celui qui commet des actes destructifs

se fait très mal.


Personne

ne se fait plus violence que

celui qui cause

du tort aux autres.



L'être humain est

fondamentalement bon,

seuls ses actes sont mauvais.




Saviez-vous qu'une mauvaise action est

toujours commise dans le but de résoudre un

problème ?



De par le manque de connaissance,

un problème est résolu

en en créant un autre.


Une personne chroniquement malade

dit dans un langage corporel :

« Voyez, je ne peux plus faire de mal ».


L'être ne supporte pas de faire

du tort aux autres ;

tôt ou tard

il se punit gravement.



Vous ne me croyez pas ?


Dans ce cas, pourquoi les criminels

laissent-ils des indices

afin qu'on les retrouve ?


Pourquoi ne peuvent-ils pas commettre

des crimes parfaits ?


Pourquoi les drogués se détruisent-ils ?


Pourquoi les enfants se font-ils prendre

lorsqu'ils font un mauvais coup ?


Parce que tous ces gens-là

ne peuvent s'arrêter d'eux-mêmes,

et par leurs agissements,

demandent aux autres de le faire

à leur place.



L'éthique et l'être humain.



L'éthique est naturelle à l'être humain.

S'il n'y arrive pas,

il s'arrange pour que la justice

s'en occupe.


Prenez l'exemple du SIDA.

L'éthique n'a pas été appliquée

et la justice de la vie

s'en est occupée.


Et ils sont tous en train de crever !


Quel gaspillage !





LES ADOS, QUELLE AFFAIRE !



Les ados vivent dans une société qui se fait

contrôler par les psys.


Ces gamins

aux yeux embués par les drogues,

au sexe sans amour et

aux idées modernes,

se meurent de ne pouvoir être fiers d'eux.


Ils ne comprennent pas pourquoi leurs parents ne

s'occupent pas d'eux.

Pourquoi ils n'ont pas de cadre de vie approprié

à leurs besoins.

Ils commettent tant d'actions mauvaises

qu'ils ne peuvent se supporter.


Ils s'enlèvent la vie en pensant qu'ils paient leur dette

envers la société qu'ils contrôlaient

si mal.


De grâce !  Fiez-vous à votre jugement.


Si les parents écoutaient leurs impulsions

plutôt que d'écouter le spécialiste Un tel,

leurs enfants seraient bien plus heureux.


Être trop permissif détruit.


Il n'y a plus de jeux.

Et la liberté devient leur prison.


Ces gamins souffrent.

Ils n'ont pas besoin de drogues

lorsqu'ils sont sur les bancs d'école,

ils ont besoin d'encadrement,

d'aide,

de la présence de leurs parents et

d'un immense amour

de leur part.


Si la société n'était pas si insouciante.


Depuis que les psys ont décidé

de prendre l'éducation et

les enfants en main,

ces derniers se

sont effondrés !



Il n'y a pas si longtemps,

les jeunes

riaient.



Respectez vos parents.


Vous n'êtes pas dépourvus d'intelligence,

au lieu d'attaquer vos parents,

aidez-les.


Ils sont là à se démener pour

vous procurer du bien-être,

aidez-les.


Au lieu de les critiquer, regardez-vous faire.


Permettez-vous de voir toutes les occasions

que vous avez ratées de leur donner

un coup de main.


Si vous les critiquez,

c'est que vous leur faites du tort.

Une critique est toujours symptomatique

d'un acte répréhensible.


Juste un petit examen de conscience

en passant.



Prenez la peine de faire un examen de conscience et

ne soyez plus jamais les mêmes !


Être adolescent est une période

d'épanouissement et non

de détresse.




L'éducation fait d'eux des perdants.


Avant que l'éducation scolaire

n'ait été prise en main par

les psychorééducateurs,

les élèves savaient lire et écrire.


Lors de son éducation primaire,

un enfant que je connais

a changé trois fois de méthode d'apprentissage.

Résultat :

il ne sait ni lire ni écrire correctement

et se sent diminué.




Les mots mal compris.



Les enfants sont bourrés

de mots mal compris.


Ils ne connaissent pas la

signification des mots,

alors ils baillent, s'évadent,

chahutent ou deviennent

hyper excités.


Ce ne sont pas des hyperactifs,

ce sont simplement des enfants

qui ne comprennent pas

ce qu'ils étudient.


Et leur intérêt s'évanouit.


Essayez d'aller à un cours

et voyez.



Allez assister à une conférence sur la fission de l'atome,

je vous jure que si les mots ne sont pas éclaircis,

vous aurez exactement les mêmes symptômes

que vos jeunes sur leur banc d'école.


Lorsqu'ils arrivent au secondaire,

l'accumulation des mots mal compris

finit par les rendre dingues.


Ils cherchent à s'en évader

et font ce qu'on leur reproche :

ils décrochent !




Nos adolescents seront les maîtres de demain,

ils valent la peine que l'on s'occupe d'eux

efficacement.



Nous avons autant besoin d'eux qu'ils ont besoin de nous.

Ce sont des êtres humains

en pleine expansion,

ils sont forts et

capables.



Demain, ils gouverneront. Si nous désirons consever ce que

nous avons construit de bien depuis des générations,

nous avons le devoir de guider ces jeunes

qui ne demandent qu'à être heureux

et à faire profiter les autres

de leur énergie.






UN PETIT PEU DE TOUT



Cessez de créer et c'est la mort

à coup sûr !


Les vieillards s'ennuient.

C'est normal, ils ont cessé de créer.


Souvent un homme à sa retraite

meurt peu de temps après.

C'est normal, il a cessé de créer.


Un mari âgé perd sa femme,

il meurt dans les mois

qui suivent.

C'est normal, il a cessé de créer.


Mais ça, tout le monde le sait !

Alors, pourquoi cesser de créer ?



Les cartomanciennes.


Bonté divine !  Quelle connerie !

Je m'excuse si je vous blesse

mais je ne puis m'empêcher de crier :

« Bonté divine ! ».


Les cartomanciennes sont de véritables plaies.

Elles vous racontent des choses

sur votre futur et vous les croyez !


Bien sûr que cela arrive, vous y avez cru !

N'arrive-t-il pas toujours ce que l'on croit !


Décidez donc par vous-même

ce que vous désirez et

arrangez-vous pour l'obtenir.


Au moins vous ressentirez le plaisir

d'être la cause de votre futur !


Que faut-il faire lorsqu'une chose

désirée ne se produit pas ?



C'est simple, la désirer encore plus fort.



Rien ne résiste à une personne

réellement

décidée.



Le secret, je vais vous le donner gratuitement :

« Ny laissez entrer aucun

doute ».





Les artistes.


Faisons attention à nos

artistes,

ils sont la sève de notre futur.


Ne laissez pas certains journalistes

les détruire.


Les artistes sont des cibles clés pour les

oppresseurs.



Plus d'artistes, plus de vie

créatrice.


Plus de vie créatrice,

plus de force

vitale.





Les religions.


Toutes les religions qui prônent la spriritualité

sont des religions

extrêmement valables.


Celles qui dévalorisent les croyances spirituelles

sont à proscrire.


Soyons très attentifs aux sciences

qui ont tendance à nier la spiritualité

des êtres.


Si elles s'attaquent à l'essence même de l'homme,

elles sont à abattre

à coup

de hache.



Rien n'est plus précieux que sa propre

intégrité.



Chaque fois que quelqu'un la nie,

il meurt un peu.




Comment faire pour demeurer

intègre ?



N'accepter que les choses qui

nous paraissent vraies

et rien d'autre.


Afin d'ouvrir notre conscience,

il serait idéal

de prendre les informations et

de les observer afin de mieux voir si

elles s'appliquent à notre condition.


Il est important de voir

si elles fonctionnent

pour nous.


Faire des choses juste pour suivre le courant

est mortel pour notre intégrité.


Vous voulez un exemple ?



Je n'oublierai jamais le film

où un gamin qui adorait son oiseau

l'a écrasé à mort parce que les autres enfants

le faisaient.



Ce petit-là a perdu son intégrité

pour tenter de

se faire

aimer.



Quelle tristesse !


La plus belle chose.



La plus belle chose qui puisse

arriver tout au long

de nos difficiles vies,

c'est notre certitude absolue

que nous sommes des

êtres créateurs

à l'infini

et qu'il nous est toujours possible

de changer ce que nous

n'aimons pas.


C'est là la différence fondamentale

entre nous

et les

animaux.



Louise Alarie  




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